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Bon, neuf joueurs déchaînés, près de trois milles points d'armée pour Hail caesar sur une table de six mètres de large et d'un mètre soixante à quatre-vingt de profondeur, quatre heures d'un jeu furieux et acharné où les plaisanteries les plus ignobles fusèrent de partout tandis que l'intendance suivait 'achement bien ! Un pur moment de régal ! Merci à tous les participants !
Mais laissez moi vous narrer ce qu’il s’est historiquement passé.
Quelque part dans le Péloponnèse, quatrième siècle avant notre ère...
"Moi, Cyrillius le Gros, Roi des Rois, Prince absolu de la Terre et de l'Eau, Ultima Stragegum, Maître de Guerre, et plus bô Gosse du quartier déclare en ce jour une grande victoire pour l'Empire Perse Immortel !
Les coalitions d’infâmes Grecs ont été chassé tels les chiens galeux qu'ils sont par le fracas de nos armes et la ferveur dévote de mes féals sujets, à mon endroit comme à mon envers.
A mon extrême dextre, le Minor Stratégos Nicolius le Fourbe, a balayé de la table les troupes de Christophius le Sage, ses cavaleries lourdes firent ravages sur les fragiles phalanges hellènes et les garçons qui les flanquaient..."
"Michaëlos l'Oriental que je pris sous mon aile de généralissime expérimenté et sévèrement burné, et Guillaumus l'Ancien aux troupes bigarrées faisions face aux terribles Spartiates de Frédéricios le Sévère, qui avait à ses côtés les veules citoyens de Thèbes commandés par Julianus l'Effonté qui faisaient ses premières armes. Il faut dire que face à Sparte, ma science militaire et mon grand sens tactique, que mes deux ailiers ont tout de suite acquis par mes fabuleuses qualité pédagogique et parce que tout simplement le boss c'est smoâ, ont fait merveilles et fortement mis à mal ces vilains en jupette qui se prennent pour des cadors ! Tout à ma senestre, Mathieuix l'Impétueux envoyait ses incontrôlable, mais aussi malodorants aux goût vestimentaires douteux de barbares mal peignés, guerriers Galates massacrer férocement et sans le moindre style artistique les Athéniens de Ericios le Malchanceux..."
"Car dans mon génie absolu de maître de guerre de l'Ordre du Braquemart Féroce, j'avais apprête deux flottes de guerre afin de débarquer sur les arrières de ces Grecs (histoire de leur faire plaisir !) un corps du général Guillaumus et un de mercenaires Grecs m'appartenant.
Bon, petit détail technique important, les rivières étant un tantinet à sec je fis l'emplette d'une foule d'esclaves qui porteraient à bras le corps les navires contenant nos troupes. Las, cette fiente de chacal coprophage de marchand métèque de Thébomonfis que le nom de sa lignée soit vomi à jamais à travers l'Histoire m'a vendu des souffreteux cacochymes qui ont été infoutus de porter nos troupes au delà de la ligne de front ! Bilan, ces cons la te me débarquent en plein milieu de la marave et gênent en tous points la pléthore de savantes manœuvres hautement stratégiques qui devaient conduire à l'extermination pure et simple de toutes les forces gomohrites et sodomeuses !
Mais un tel génie martial que moi même personnellement a plus de corde à linge à son arc qu'une blanchisseuse orientale ! Et comme je l'ai enseigné à l'académie militaire du Point de l'Ouest qui forme les Maîtres de Guerre : Je me suis adapté, j'ai imporvisé...
Il va sans dire que j'ai fait empaler tous les esclaves achetés le matin même, on a les moyens ou on les a pas
. "
"Du coup je sortis mon arme secrète ultime, une tactique osée que personne avant moi Cyrillius le Gros, trois fois Grand maître de l'Ordre de la Colonne à Moustache a mis au point, car faut vraiment être chibré féroce sur le plan stratégique !
Le plan était audacieux et machiavélique, je dépêchais force émissaires malsains, contaminer par la vérole, toutes les ribaudes, mignons et autres bougres dont la chair pourrait tenter aux alentours les guerriers de Sparte. Et là je réussissais un ordre que seul un généralissime de mon envergure pouvait espérer tenter, j'exigeais de mes troupes qu'elles se fassent intégralement balayer, massacrer, atomiser purement...
Ainsi, le Spartiate en liesse irait en fin de bataille trousser tout ce qui bouge dans le landerneau, se faisant ainsi inoculer la vérole par les ribaudes contaminées..
Si ça c'est pas du génie militaire ça !
Ainsi mes vaillantes troupes furent, quelle dévotion ! Quel professionnalisme ! Totalement annihilées, parachevant ainsi mon éclatante victoire..."
Voila, l'éclatante victoire des armées Perses et coalisées menées par Cyrillius le Gros face aux infâmes Grecs, qui changera à jamais la fesse du Monde...
Mais laissez moi vous narrer ce qu’il s’est historiquement passé.
Quelque part dans le Péloponnèse, quatrième siècle avant notre ère...
"Moi, Cyrillius le Gros, Roi des Rois, Prince absolu de la Terre et de l'Eau, Ultima Stragegum, Maître de Guerre, et plus bô Gosse du quartier déclare en ce jour une grande victoire pour l'Empire Perse Immortel !
Les coalitions d’infâmes Grecs ont été chassé tels les chiens galeux qu'ils sont par le fracas de nos armes et la ferveur dévote de mes féals sujets, à mon endroit comme à mon envers.
A mon extrême dextre, le Minor Stratégos Nicolius le Fourbe, a balayé de la table les troupes de Christophius le Sage, ses cavaleries lourdes firent ravages sur les fragiles phalanges hellènes et les garçons qui les flanquaient..."
"Michaëlos l'Oriental que je pris sous mon aile de généralissime expérimenté et sévèrement burné, et Guillaumus l'Ancien aux troupes bigarrées faisions face aux terribles Spartiates de Frédéricios le Sévère, qui avait à ses côtés les veules citoyens de Thèbes commandés par Julianus l'Effonté qui faisaient ses premières armes. Il faut dire que face à Sparte, ma science militaire et mon grand sens tactique, que mes deux ailiers ont tout de suite acquis par mes fabuleuses qualité pédagogique et parce que tout simplement le boss c'est smoâ, ont fait merveilles et fortement mis à mal ces vilains en jupette qui se prennent pour des cadors ! Tout à ma senestre, Mathieuix l'Impétueux envoyait ses incontrôlable, mais aussi malodorants aux goût vestimentaires douteux de barbares mal peignés, guerriers Galates massacrer férocement et sans le moindre style artistique les Athéniens de Ericios le Malchanceux..."
"Car dans mon génie absolu de maître de guerre de l'Ordre du Braquemart Féroce, j'avais apprête deux flottes de guerre afin de débarquer sur les arrières de ces Grecs (histoire de leur faire plaisir !) un corps du général Guillaumus et un de mercenaires Grecs m'appartenant.
Bon, petit détail technique important, les rivières étant un tantinet à sec je fis l'emplette d'une foule d'esclaves qui porteraient à bras le corps les navires contenant nos troupes. Las, cette fiente de chacal coprophage de marchand métèque de Thébomonfis que le nom de sa lignée soit vomi à jamais à travers l'Histoire m'a vendu des souffreteux cacochymes qui ont été infoutus de porter nos troupes au delà de la ligne de front ! Bilan, ces cons la te me débarquent en plein milieu de la marave et gênent en tous points la pléthore de savantes manœuvres hautement stratégiques qui devaient conduire à l'extermination pure et simple de toutes les forces gomohrites et sodomeuses !
Mais un tel génie martial que moi même personnellement a plus de corde à linge à son arc qu'une blanchisseuse orientale ! Et comme je l'ai enseigné à l'académie militaire du Point de l'Ouest qui forme les Maîtres de Guerre : Je me suis adapté, j'ai imporvisé...
Il va sans dire que j'ai fait empaler tous les esclaves achetés le matin même, on a les moyens ou on les a pas
. ""Du coup je sortis mon arme secrète ultime, une tactique osée que personne avant moi Cyrillius le Gros, trois fois Grand maître de l'Ordre de la Colonne à Moustache a mis au point, car faut vraiment être chibré féroce sur le plan stratégique !
Le plan était audacieux et machiavélique, je dépêchais force émissaires malsains, contaminer par la vérole, toutes les ribaudes, mignons et autres bougres dont la chair pourrait tenter aux alentours les guerriers de Sparte. Et là je réussissais un ordre que seul un généralissime de mon envergure pouvait espérer tenter, j'exigeais de mes troupes qu'elles se fassent intégralement balayer, massacrer, atomiser purement...
Ainsi, le Spartiate en liesse irait en fin de bataille trousser tout ce qui bouge dans le landerneau, se faisant ainsi inoculer la vérole par les ribaudes contaminées..
Si ça c'est pas du génie militaire ça !
Ainsi mes vaillantes troupes furent, quelle dévotion ! Quel professionnalisme ! Totalement annihilées, parachevant ainsi mon éclatante victoire..."
Voila, l'éclatante victoire des armées Perses et coalisées menées par Cyrillius le Gros face aux infâmes Grecs, qui changera à jamais la fesse du Monde...
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