par thalantir Dim 8 Sep - 8:37
Ce samedi une nouvelle partie test avec le camarade Yotu. Toujours sur une bataille "random" mais ce fut bien fun. Nous avons cette fois bien passé en revue les règles spécifiques du jeu et notamment le hérisson que j'ai utilisé à profusion ! Voici déjà les ordres de bataille utilisés :
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Une image valant mieux que des mots, voici le déploiement initial. |
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les suisses s’apprêtent à passer la rivière à droite |
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tandis que sur l’aile gauche, l’autre battalia suisse envisage de faire de même. |
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Au centre la cavalerie française placée derrière le marais (je ne sais pas trop pourquoi) et juste à côté le battalia français (bataillon noir avec ses arquebusiers et hallebardiers) |
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Pour ma part je positionnais ma cavalerie sur l’aile gauche et me retrouvait dans un environnement plutôt dégagé |
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Mes lansquenets allemands tenaient le centre. |
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Les florentins étaient en réserve derrière le village. |
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Les espagnols quant à eux seraient charger de tenir le flanc droit. |
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La bataille commence par une attaque des suisses sur la droite, en colonne les régiments helvétiques passent le pont et se déploient de l’autre côté. |
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Gênés par le marais et l’abondance de piques devant eux, les cavaliers français entament un replacement à droite. |
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les suisses au centre n’arrivent pas à bouger. Les français se placent sur la berge. |
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Les arquebusiers suisses ouvrent le feu sur les épéistes espagnols les désorganisant au plus mauvais moment. |
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A mon tour je fais déplacer mes arbalétriers montés pour un tir en enfilade sur les suisses mais sans effet. Tandis que mes gendarmes subissent un fiasco et sortent de la table… |
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A droite je fais pleuvoir un déluge de feu sur les colonnes suisses mais sans aucun effet , même pas une désorganisation. |
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Au centre j’ai fait avancer ma ligne et déployer mon artillerie pour écraser les hallebardiers français. Ces derniers seront secoués mais refuseront de dérouter. Au passage, un de mes canons ayant obtenu le bien redouté « double 1 » est enrayé et inutilisable… |
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Le général de la cavalerie entrevoyant une opportunité entraine ses chevaliers contre les arquebusiers allemands. La charge est bien prête de réussir puisque ces derniers parviennent tout juste à se réfugier dans leur carré de piquiers. A gauche les arbalétriers montés esquivent une charge des zweihanders suisses. |
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A droite, profitant de son élan Yotu fait charger mes arquebusiers par ses suisses et ses estradiots. Je déclare immédiatement deux hérissons pour tenter d’enrayer l’attaque helvétique. Les estradiots renoncent à s’encastrer, en revanche, les suisses foncent pour en découdre et causent de sévères pertes chez les espagnols les déroutant sur le choc. Le second hérisson tient bon, mais avec de lourdes pertes. |
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C’est à mon tour, et je décide également d’attaquer. Je fais charger mes lansquenets contre les français et les suisses. Les arquebusiers français se réfugient dans leur carré de piquiers mais je décide de poursuivre la charge avec mes lansquenets et leurs zwerihanders. Les français du bataillon noir tiennent bon et réussissent leur test. Un autre de mes carrés charge les suisses et le combat est violent mais indécis. |
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A droite, je lance mes épéistes enfin réorganisés sur les flancs des suisses. Leur bonus au résultat de combat me sera précieux puisque je remporte le combat et que les suisses déroutent. |
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Yotu réagit cependant immédiatement en faisant charger son autre carré de piquiers et ses italiens sur mon hérisson qui commence à craqueler… |
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Au centre les chevaliers français tentent une charge absolument folle : traverser tout le centre de table par un « ordre suivez moi ! » passant devant les arbalétriers mon hérisson, mes canons en mitraille et pour charger mes arquebusiers lansquenets. C’est bien simple, ça me parait tellement hallucinant que je ne pense même pas au final à mettre mes arquebusiers dans un hérisson ! Eh bien vous savez quoi ? Malgré tous cela, après un "Montjoie Saint Denis !" de circonstance de la part de Yotu, ils parviennent au combat (en miettes mais ils y parviennent) et piétinent mes tireurs (tireurs qui réussiront à les blesser en plus) devant les yeux médusés de mes lansquenets ! |
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A gauche les zweihanders suisses qui courent depuis deux tours après mes arbalétriers montés, échouent une nouvelle fois à les attraper. Tandis que mes gendarmes sont revenus et se placent face à l’ennemi. |
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La mêlée du centre gauche se poursuit sans que qui que ce soit prenne le dessus, le bataillon noir continue de résister opiniâtrement. |
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Mon artillerie et mes tireurs donnent de la voix mais les cibles commencent à manquer. |
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Croulant sous le nombre des ennemis mon hérisson explose, entraînant la déroute de ma division espagnole. A mon tour je fais charger ma réserve de piquiers italiens qui parviennent à mettre les italiens au service de l’Empire en déroute et à détruire par là même la division suisse. |
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Mais ce satané bataillon noir pourtant ébranlé et dont le général vient de mourir secoue aussi mes zweihanders. Egalité, test pour les deux, les zweihanders déroutent le bataillon noir reste tranquillement sur place… |
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Mes chevaliers chargent les zweihanders suisses et les écrasent sans pitié. |
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Tandis que mon carré de lansquenets ébranle un carré suisse de gauche, et qu’un autre carré de lansquenet attaque les chevaliers français par derrière. Les nobles gendarmes n’ont que le temps de se retourner. |
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Les suisses déroutent. La division française est également déroutée mais le bataillon noir est toujours là, même ébranlé, il repousse sans relâche les assauts des lansquenets. |
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En revanche les chevaliers français sont dans une position intenable, malgré un combat vaillant, ils sont obligés de dérouter.
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Avec 3 divisions détruites contre 1, les forces impériales
revendiquent la victoire et les français subissent leur première défaite lors
de ces séances de test !
L’unité du match sera sans conteste le Bataillon Noir pour
ses quatre Rounds de combat inflexibles. Mention spéciale également à la charge
de l’espace des chevaliers français !